L’heure de dire sa Force est arrivée pour Sonko (LAF)

Depuis l’alternance historique de 2024, le Sénégal est entré dans une phase de transformation profonde, marquée par un retour à la souveraineté, une volonté assumée de transparence et un désir populaire de rupture après une décennie de dérives institutionnelles. Au cœur de cette nouvelle trajectoire nationale se trouve le Premier ministre Ousmane Sonko, figure emblématique d’un combat pour la justice, le patriotisme et l’éthique publique.

Cette centralité fait de lui un dirigeant d’une grande crédibilité, mais aussi un symbole. Et tout symbole attire inévitablement des tentatives de dénaturation, de manipulation et de falsification.

Dans l’arène politique moderne, la force d’un leader ne se mesure plus seulement aux actes, mais aussi à la manière dont ces actes sont racontés, interprétés et appropriés par l’opinion. Celui qui ne prend pas la parole devient un récit construit par d’autres. Le silence, autrefois signe de maîtrise, peut désormais devenir une vulnérabilité stratégique. C’est pourquoi, à rebours de l’adage selon lequel “le tigre ne proclame pas sa «tigritude»”, Ousmane Sonko se doit aujourd’hui d’affirmer à voix haute et forte sa vision, sa ligne et sa force politique. Il ne le fera pas pour se glorifier, mais pour empêcher que d’autres redessinent son identité à sa place.

Le présent développement se propose d’explorer les raisons profondes pour lesquelles, dans le contexte politique actuel, l’affirmation publique de soi s’impose comme une nécessité stratégique, un levier de leadership et une arme de protection narrative.

Dans un environnement saturé de discours, d’interprétations et de manipulations, celui qui renonce à raconter sa propre histoire laisse ses adversaires l’écrire à sa place. Il risque alors de se faire défigurer par ces derniers. Cette partie expose pourquoi la maîtrise du récit constitue aujourd’hui l’un des attributs essentiels de la puissance politique.

La première bataille qui doit être engagée autour de Sonko n’est ni juridique, ni institutionnelle, ni économique. Elle est narrative. L’opposition réactionnaire a compris que pour fragiliser le Projet de refondation national en cours, il faut d’abord fragiliser celui qui l’incarne le plus fortement. D’où les campagnes de désinformation, les tentatives de diabolisation, les narratifs alarmistes destinés à faire croire que la souveraineté économique et diplomatique voulue par Ousmane Sonko et son gouvernement serait source de chaos. Aujourd’hui, ces adversaires de la transition tentent de peindre les réformes comme radicales, hasardeuses ou improvisées, de présenter la reddition des comptes comme une simple vengeance, d’assimiler la rupture à une instabilité, d’isoler diplomatiquement le Sénégal en dramatisant ses choix souverains de ses dirigeants. 

Dans cette atmosphère saturée d’interprétations, ne pas maîtriser son propre récit serait offrir une victoire gratuite aux forces hostiles. La politique sénégalaise actuelle ne laisse plus la place au mutisme stratégique. Les réseaux sociaux, les relais médiatiques alignés sur l’ancien ordre, et certains intérêts internationaux produisent des narrations constantes, agressives et déstabilisatrices.

Le Premier ministre ne peut laisser ces narrations parler pour lui. Il doit multiplier ses prises de parole. Car, proclamer sa «tigritude» », dans cette configuration, signifie prendre la parole pour dire : « Voici la vérité de notre action. Voici le sens de notre combat. Voici ce que nous portons pour le Sénégal. » C’est donc un acte de lucidité, mais non de vanité.

L’affirmation publique de sa vision, de ses valeurs et de son identité n’est plus une option accessoire, mais un acte fondateur du leadership. Le développement qui suit montre comment la clarté du discours construit la légitimité, renforce la cohésion interne et consolide la crédibilité de la coalition « APTE » et de son leader.

Ousmane Sonko représente une génération politique qui ne conçoit pas l’exercice du pouvoir comme une simple fonction, mais comme un devoir : celui d’expliquer, de clarifier, de responsabiliser la nation. Il n’a cessé de le déclarer. Depuis 2016, il s’est imposé comme un leader de pédagogie politique, habitué à replacer les actes publics dans des cadres analytiques accessibles à tous. Avec lui, le Sénégalais lambda a saisi désormais des concepts lourds et volontairement surchargés par la caste politique traditionnelle.

Ce style, inédit dans le paysage sénégalais, est devenu une nécessité dans la période actuelle.

L’affirmation de soi du Premier ministre joue plusieurs rôles essentiels. D’abord, il s’agit de clarifier le cap national. Dans un pays en transition, soumis à de fortes attentes sociales et à de lourdes pressions extérieures, seule une parole cohérente peut orienter l’opinion. Sonko, par ses prises de position, doit chercher à assurer la lisibilité de la politique gouvernementale. Ensuite, il faudra maintenir la cohésion interne. Par exemple, la demande publique d’exclusion de sa coalition de certaines personnalités épinglées pour malversations, lors du terra meeting du 8 novembre, est de nature à renforcer la crédibilité collective, à protéger l’éthique interne, mais aussi à prévenir les tensions liées au favoritisme. Elle rassure les membres loyaux, élimine les zones grises et consolide la confiance autour d’une même ligne morale. Ainsi, la cohésion naît de la clarté et de l’exemplarité. Puis, il s’agit d’empêcher, tout simplement, la confiscation du sens. Car, l’ambiguïté est le terrain préféré des adversaires politiques. Là où Sonko précise sa pensée, ils ne peuvent la déformer. Là où Sonko assume ses positions, ils ne peuvent les envenimer. C’est d’ailleurs, l’une des raisons sous-jacentes expliquant la programmation d’une prochaine prise de parole à l’hémicycle puis au Grand-Théâtre de Dakar, prévue respectivement les 28 novembre et 07 décembre 2025. Et enfin, l’affirmation de soi de Sonko permet le renforcement de sa légitimité populaire.

La force du Premier ministre provient du peuple. En affirmant son engagement, il réactive ce lien, il parle pour ceux qui l’ont porté au pouvoir, il maintient vivante la dynamique citoyenne qui a permis l’alternance. Ainsi, proclamer sa «tigritude» signifie, pour Sonko : « Je défends ce pour quoi le peuple m’a choisi. Et je refuse que l’on travestisse ce mandat. » Ce n’est pas pour lui-même qu’il parle, mais pour la continuité du « Projet ».

L’affirmation de soi joue aussi un rôle essentiel dans la dynamique interne : elle aligne les énergies, clarifie les positions et donne aux militants les repères nécessaires pour comprendre, défendre et incarner une vision politique. En elle-même, la proclamation n’est pas une posture. Elle est une nécessité stratégique, une condition d’un leadership durable. Dans la lutte politique moderne, maîtriser son image est à la fois une défense contre les attaques adverses et une stratégie d’influence. Nous verrons dans cette partie, comment une parole assumée pourrait neutraliser les tentatives de déformation d’un récit et permettre  d’imposer un agenda politique clair.

L’hypermédiatisation, la circulation instantanée de l’information et la montée en puissance des campagnes de manipulation rendent la maîtrise de son image indispensable. Les adversaires politiques savent aujourd’hui que la première bataille se gagne ou se perd sur le terrain des perceptions. Ils ciblent l’émotion, la réputation, la crédibilité, car l’opinion se forge le plus souvent avant d’avoir accès aux faits.

Proclamer sa « «tigritude» » devient alors une riposte stratégique : elle consiste à reprendre la main sur le discours, à occuper l’espace narratif et à empêcher l’adversaire d’imposer une version déformée de la réalité. Une parole claire, forte et constante réduit les marges de manœuvre des manipulateurs. Elle protège contre les rumeurs, contre les caricatures, contre les lectures malveillantes.

Mais, maîtriser son image ne sert pas seulement à Sonko à se défendre. Cela lui permet aussi d’orienter l’avenir immédiat, d’imposer les thèmes de débat comme il sait si bien le faire, de fixer la direction des discussions nationales et de proposer un horizon. Comme nous l’avons si bien appris, celui qui parle en premier structure le débat ; celui qui parle clairement impose sa grille de lecture de la situation ; celui qui parle avec force influence la trajectoire collective.

Ainsi, Ousmane Sonko aura tout intérêt à proclamer sa «tigritude» pour mieux exercer une souveraineté narrative sur le présent et l’avenir de notre pays.

Pour éviter de conclure, j’estime que la proclamation de sa «tigritude» ne représente ni un acte de vanité, ni une posture agressive. C’est un geste politique essentiel, un acte stratégique destiné à protéger son identité, à affirmer sa légitimité et à orienter le destin collectif. Dans un contexte où le récit façonne la perception, où le silence nourrit la manipulation et où les adversaires exploitent la moindre ambiguïté, se taire revient à s’effacer. Et bien au contraire, s’affirmer, revient à  protéger sa vérité, galvaniser ses partisans et occuper toute sa place dans l’histoire.

Affirmer sa «tigritude» ou même sa « sonkitude », c’est finalement affirmer sa souveraineté, celle de décider de sa voix, de sa force et de son rôle dans l’avenir politique de notre pays.

Dans un contexte où la narration est devenue une arme politique, où les adversaires tentent chaque jour de manipuler la perception collective, où les forces contraires cherchent à déstabiliser le Sénégal, l’affirmation publique de soi devient une nécessité nationale.

En maîtrisant son récit, Sonko protège la transition. Il protège la vérité en affirmant ainsi toute sa force. Et, en clarifiant sa vision, il protège le peuple sénégalais. La «tigritude» qu’il proclame est celle d’un homme chargé d’une mission, celle d’empêcher que d’autres écrivent à la place du Sénégal l’histoire que le peuple a choisie.

Alors, Excellence, parlez autant que vous pouvez !

Lamine NDIAYE Aysa Fall

Président du Mouvement ARCHE/ Yoon Wi

lamineaysafall@lamineaysa.com

L’heure de dire sa Force est arrivée pour Sonko

Depuis l’alternance historique de 2024, le Sénégal est entré dans une phase de transformation profonde, marquée par un retour à la souveraineté, une volonté assumée de transparence et un désir populaire de rupture après une décennie de dérives institutionnelles. Au cœur de cette nouvelle trajectoire nationale se trouve le Premier ministre Ousmane Sonko, figure emblématique d’un combat pour la justice, le patriotisme et l’éthique publique.

Cette centralité fait de lui un dirigeant d’une grande crédibilité, mais aussi un symbole. Et tout symbole attire inévitablement des tentatives de dénaturation, de manipulation et de falsification.

Dans l’arène politique moderne, la force d’un leader ne se mesure plus seulement aux actes, mais aussi à la manière dont ces actes sont racontés, interprétés et appropriés par l’opinion. Celui qui ne prend pas la parole devient un récit construit par d’autres. Le silence, autrefois signe de maîtrise, peut désormais devenir une vulnérabilité stratégique. C’est pourquoi, à rebours de l’adage selon lequel “le tigre ne proclame pas sa «tigritude»”, Ousmane Sonko se doit aujourd’hui d’affirmer à voix haute et forte sa vision, sa ligne et sa force politique. Il ne le fera pas pour se glorifier, mais pour empêcher que d’autres redessinent son identité à sa place.

Le présent développement se propose d’explorer les raisons profondes pour lesquelles, dans le contexte politique actuel, l’affirmation publique de soi s’impose comme une nécessité stratégique, un levier de leadership et une arme de protection narrative.

Dans un environnement saturé de discours, d’interprétations et de manipulations, celui qui renonce à raconter sa propre histoire laisse ses adversaires l’écrire à sa place. Il risque alors de se faire défigurer par ces derniers. Cette partie expose pourquoi la maîtrise du récit constitue aujourd’hui l’un des attributs essentiels de la puissance politique.

La première bataille qui doit être engagée autour de Sonko n’est ni juridique, ni institutionnelle, ni économique. Elle est narrative. L’opposition réactionnaire a compris que pour fragiliser le Projet de refondation national en cours, il faut d’abord fragiliser celui qui l’incarne le plus fortement. D’où les campagnes de désinformation, les tentatives de diabolisation, les narratifs alarmistes destinés à faire croire que la souveraineté économique et diplomatique voulue par Ousmane Sonko et son gouvernement serait source de chaos. Aujourd’hui, ces adversaires de la transition tentent de peindre les réformes comme radicales, hasardeuses ou improvisées, de présenter la reddition des comptes comme une simple vengeance, d’assimiler la rupture à une instabilité, d’isoler diplomatiquement le Sénégal en dramatisant ses choix souverains de ses dirigeants. 

Dans cette atmosphère saturée d’interprétations, ne pas maîtriser son propre récit serait offrir une victoire gratuite aux forces hostiles. La politique sénégalaise actuelle ne laisse plus la place au mutisme stratégique. Les réseaux sociaux, les relais médiatiques alignés sur l’ancien ordre, et certains intérêts internationaux produisent des narrations constantes, agressives et déstabilisatrices.

Le Premier ministre ne peut laisser ces narrations parler pour lui. Il doit multiplier ses prises de parole. Car, proclamer sa «tigritude» », dans cette configuration, signifie prendre la parole pour dire : « Voici la vérité de notre action. Voici le sens de notre combat. Voici ce que nous portons pour le Sénégal. » C’est donc un acte de lucidité, mais non de vanité.

L’affirmation publique de sa vision, de ses valeurs et de son identité n’est plus une option accessoire, mais un acte fondateur du leadership. Le développement qui suit montre comment la clarté du discours construit la légitimité, renforce la cohésion interne et consolide la crédibilité de la coalition « APTE » et de son leader.

Ousmane Sonko représente une génération politique qui ne conçoit pas l’exercice du pouvoir comme une simple fonction, mais comme un devoir : celui d’expliquer, de clarifier, de responsabiliser la nation. Il n’a cessé de le déclarer. Depuis 2016, il s’est imposé comme un leader de pédagogie politique, habitué à replacer les actes publics dans des cadres analytiques accessibles à tous. Avec lui, le Sénégalais lambda a saisi désormais des concepts lourds et volontairement surchargés par la caste politique traditionnelle.

Ce style, inédit dans le paysage sénégalais, est devenu une nécessité dans la période actuelle.

L’affirmation de soi du Premier ministre joue plusieurs rôles essentiels. D’abord, il s’agit de clarifier le cap national. Dans un pays en transition, soumis à de fortes attentes sociales et à de lourdes pressions extérieures, seule une parole cohérente peut orienter l’opinion. Sonko, par ses prises de position, doit chercher à assurer la lisibilité de la politique gouvernementale. Ensuite, il faudra maintenir la cohésion interne. Par exemple, la demande publique d’exclusion de sa coalition de certaines personnalités épinglées pour malversations, lors du terra meeting du 8 novembre, est de nature à renforcer la crédibilité collective, à protéger l’éthique interne, mais aussi à prévenir les tensions liées au favoritisme. Elle rassure les membres loyaux, élimine les zones grises et consolide la confiance autour d’une même ligne morale. Ainsi, la cohésion naît de la clarté et de l’exemplarité. Puis, il s’agit d’empêcher, tout simplement, la confiscation du sens. Car, l’ambiguïté est le terrain préféré des adversaires politiques. Là où Sonko précise sa pensée, ils ne peuvent la déformer. Là où Sonko assume ses positions, ils ne peuvent les envenimer. C’est d’ailleurs, l’une des raisons sous-jacentes expliquant la programmation d’une prochaine prise de parole à l’hémicycle puis au Grand-Théâtre de Dakar, prévue respectivement les 28 novembre et 07 décembre 2025. Et enfin, l’affirmation de soi de Sonko permet le renforcement de sa légitimité populaire.

La force du Premier ministre provient du peuple. En affirmant son engagement, il réactive ce lien, il parle pour ceux qui l’ont porté au pouvoir, il maintient vivante la dynamique citoyenne qui a permis l’alternance. Ainsi, proclamer sa «tigritude» signifie, pour Sonko : « Je défends ce pour quoi le peuple m’a choisi. Et je refuse que l’on travestisse ce mandat. » Ce n’est pas pour lui-même qu’il parle, mais pour la continuité du « Projet ».

L’affirmation de soi joue aussi un rôle essentiel dans la dynamique interne : elle aligne les énergies, clarifie les positions et donne aux militants les repères nécessaires pour comprendre, défendre et incarner une vision politique. En elle-même, la proclamation n’est pas une posture. Elle est une nécessité stratégique, une condition d’un leadership durable. Dans la lutte politique moderne, maîtriser son image est à la fois une défense contre les attaques adverses et une stratégie d’influence. Nous verrons dans cette partie, comment une parole assumée pourrait neutraliser les tentatives de déformation d’un récit et permettre  d’imposer un agenda politique clair.

L’hypermédiatisation, la circulation instantanée de l’information et la montée en puissance des campagnes de manipulation rendent la maîtrise de son image indispensable. Les adversaires politiques savent aujourd’hui que la première bataille se gagne ou se perd sur le terrain des perceptions. Ils ciblent l’émotion, la réputation, la crédibilité, car l’opinion se forge le plus souvent avant d’avoir accès aux faits.

Proclamer sa « «tigritude» » devient alors une riposte stratégique : elle consiste à reprendre la main sur le discours, à occuper l’espace narratif et à empêcher l’adversaire d’imposer une version déformée de la réalité. Une parole claire, forte et constante réduit les marges de manœuvre des manipulateurs. Elle protège contre les rumeurs, contre les caricatures, contre les lectures malveillantes.

Mais, maîtriser son image ne sert pas seulement à Sonko à se défendre. Cela lui permet aussi d’orienter l’avenir immédiat, d’imposer les thèmes de débat comme il sait si bien le faire, de fixer la direction des discussions nationales et de proposer un horizon. Comme nous l’avons si bien appris, celui qui parle en premier structure le débat ; celui qui parle clairement impose sa grille de lecture de la situation ; celui qui parle avec force influence la trajectoire collective.

Ainsi, Ousmane Sonko aura tout intérêt à proclamer sa «tigritude» pour mieux exercer une souveraineté narrative sur le présent et l’avenir de notre pays.

Pour éviter de conclure, j’estime que la proclamation de sa «tigritude» ne représente ni un acte de vanité, ni une posture agressive. C’est un geste politique essentiel, un acte stratégique destiné à protéger son identité, à affirmer sa légitimité et à orienter le destin collectif. Dans un contexte où le récit façonne la perception, où le silence nourrit la manipulation et où les adversaires exploitent la moindre ambiguïté, se taire revient à s’effacer. Et bien au contraire, s’affirmer, revient à  protéger sa vérité, galvaniser ses partisans et occuper toute sa place dans l’histoire.

Affirmer sa «tigritude» ou même sa « sonkitude », c’est finalement affirmer sa souveraineté, celle de décider de sa voix, de sa force et de son rôle dans l’avenir politique de notre pays.

Dans un contexte où la narration est devenue une arme politique, où les adversaires tentent chaque jour de manipuler la perception collective, où les forces contraires cherchent à déstabiliser le Sénégal, l’affirmation publique de soi devient une nécessité nationale.

En maîtrisant son récit, Sonko protège la transition. Il protège la vérité en affirmant ainsi toute sa force. Et, en clarifiant sa vision, il protège le peuple sénégalais. La «tigritude» qu’il proclame est celle d’un homme chargé d’une mission, celle d’empêcher que d’autres écrivent à la place du Sénégal l’histoire que le peuple a choisie.

Alors, Excellence, parlez autant que vous pouvez !

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